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978-2-36188-310-2
Je Suis Là
L’auteure Catherine KOSMALA nous partage son incroyable histoire. Son fils unique décéde le 26 septembre 2014, elle sombre alors dans un désespoir que rien ne soulage. C’est avec pudeur qu’elle nous raconte l’horreur de cette épreuve qui la laisse anéantie est sans plus aucun but dans sa vie. Cependant, elle commence à avoir de nombreux signes et des synchronicités qui vont l’amener à faire des rencontres étonnantes. Au fils de ces dernières, elle arrivera à entrer en contact avec son fils, comme une sorte de pont entre les deux mondes. Un dialogue fabuleux s’instaure alors entre la maman et son fils.
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L’auteure Catherine KOSMALA nous partage son incroyable histoire. Son fils unique décéde le 26 septembre 2014, elle sombre alors dans un désespoir que rien ne soulage. C’est avec pudeur qu’elle nous raconte l’horreur de cette épreuve qui la laisse anéantie est sans plus aucun but dans sa vie. Cependant, elle commence à avoir de nombreux signes et des synchronicités qui vont l’amener à faire des rencontres étonnantes. Au fils de ces dernières, elle arrivera à entrer en contact avec son fils, comme une sorte de pont entre les deux mondes. Un dialogue fabuleux s’instaure alors entre la maman et son fils.
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Date de disponibilité: 03/04/2018
PROLOGUE
Que peut-on vivre de plus horrible sur cette Terre, que d’apprendre la mort de son enfant. Je crois que rien n’est plus terrible.
Le départ d’un être aimé est une épreuve sans nul doute que nous vivrons tous un jour, en principe. Cependant lorsque l’ordre des choses n’est pas « respecté », que vous devenez une maman sans enfant, sans plus aucune projection dans l’avenir, sans aucun espoir de voir un jour votre fils devenir père à son tour, ni de le voir évoluer dans ce nouveau rôle et dans sa vie, le néant s’empare de vous et l’espoir de pouvoir vivre une vie dite normale devient tout simplement impossible.
Malgré le soutien, l’amour de la famille et de l’entourage, rien n’y fait. L’anéantissement, le sentiment de solitude, la douleur et le chagrin que l’on ressent ne peuvent être partagés car il n’existe pas de mots pour décrire cette souffrance et plus rien ne peut atteindre notre coeur détruit. On se retrouve comme en dehors de son corps et de sa vie. Les personnes autour de vous vous parlent, vous rassurent, tentent de trouver les mots qui vont apaiser, ils se sentent impuissants par tant de souffrance et en même temps ne peuvent mesurer à quel point elle fait mal !
Plus rien n’est important, ni manger, ni dormir, ni parler, ni travailler. C’est comme si on attendait que les jours passent pour vieillir le plus vite possible afin que la vie s’arrête et la souffrance avec. Il faut penser à lui chaque jour, chaque nuit, chaque minute par peur de l’oublier, par peur que les autres l’oublient, il n’y a plus de place pour personne d’autre que vos souvenirs qui vous hantent, que ces rires qui dorénavant
vous font mal, que ces regards qui vous manquent. Tout défile dans la tête sans répit, l’incompréhension de la situation que personne ne peut vous expliquer.
Parfois, le matin on se réveille et on croit que l’on a fait un mauvais rêve, alors on se sent léger mais ça ne dure que quelques secondes, la réalité reprend sa place et avec elle le poids de la souffrance. On a envie d’hurler mais les mots ne sortent pas, seules les larmes coulent sur vos joues, impossible de les arrêter.
Ce que l’on ressent est indescriptible, on met un enfant au monde, on le chérit, on l’éduque. Petit à petit on l’accompagne sur son chemin, toujours prêt à lui apporter du soutien, une épaule pour s’appuyer. On le regarde grandir, devenir un adolescent, puis un jeune homme. On se dit que bientôt il prendra son envol mais que l’on sera toujours là pour lui jusqu’à notre dernier souffle. Et puis un jour, brutalement sans que rien ne vous y ait préparé, on vous annonce que votre enfant est mort...
L’envie d’écrire ce témoignage est devenu pour moi une évidence. Comment garder pour soi une expérience qui jour après jour me conduit vers la paix, la sérénité et l’espoir.
Au cours de ce chemin difficile, j’ai rencontré tellement de belles personnes, des mamans ayant perdu un enfant, des personnes dévouées pour accompagner et soutenir les parents perdus que nous sommes, lorsque la mort frappe aussi injustement.
Certains ont créé des associations à la mémoire de leur enfant ou d’êtres chers, afin d’apporter de l’aide aux personnes endeuillées mais également pour partager leurs expériences qui ont bien des points communs avec celle que je tiens à partager.
J’ai tout de même hésité un certain temps. La crainte du jugement, du qu’en dira-t-on. Mais aujourd’hui, après avoir été percutée par cette épreuve, étrangement je n’ai plus aucun souci avec ce que peuvent penser les autres de moi. Si mon histoire peut aider, ne serait-ce qu’une seule personne, à faire ce cheminement, alors je ne dois pas hésiter une seule seconde.
Je n’ai pas beaucoup d’expérience dans ce domaine, cependant lorsque je raconte autour de moi les contacts que j’ai avec mon fils, les signes que j’ai pu recevoir et que je reçois encore, tout le monde m’encourage à le faire savoir. J’ai juste envie d’apporter un témoignage, qui n’a nullement la vocation de convaincre mais seulement le mérite d’être partagé.
Nous sommes nombreuses, les mamans courages, à chercher le moyen de surmonter si c’est possible, l’horreur de l’absence de notre petit ange. Quand la vie semble ne plus avoir de sens, notre statut est inexistant car ce n’est pas le sens logique de la vie.
Genre | Témoignage |
Sous-genre | Spiritualité |
Langues | Français |
Nombre de pages | 200 |
Date de parution | octobre 2019 |
Éditeur | EXERGUE |
Auteur | Catherine Kosmala |
"Un jour ma vie a basculé en une seconde. Mon unique fils, Julien, a eu un accident et n'a pas survécu. La douleur, l'horreur, l'envie de mourir et puis, petit à petit, des signes sont apparus. Puis des rencontres avec de belles personnes et, chemin faisant, la certitude que mon enfant est toujours vivant...
Il n'est en aucune manière question pour moi de convaincre, mais juste de partager mon expérience."
Il n'y a certainement rien de pire comme souffrance que la perte d'un enfant. Difficile de se mettre à la place de l'auteure du récit, mais on est très vite en empathie avec la souffrance de cette maman. Puis on découvre de page en page, des signes troublants qui arrivent à cette maman. Certains de ces signes sont matérialisés par objets ou des photos, que l'on retrouve dans l'ouvrage. Que l'on soit croyant ou non ces signes, ces "coïncidences", nous font irrémédiablement se poser des questions sur la vie, la mort, et surtout l'après vie. C'est aussi un formidable témoignage qui pourra certainement aider d'autres personnes qui vivent la perte d'un enfant.
Un récit qui ne peut laisser le lecteur indifférent et qui à le mérite de nous faire s'interroger sur une possible survivance après la mort. Ces signes que nos défunts nous enverraient, et que bien souvent nous ne voyons pas ou que nous attribuons au hasard.
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